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31 janvier 2013 4 31 /01 /janvier /2013 19:49

 

"Faut-il donner le droit de vote aux résidents étrangers en France pour les élections municipales dès 2014 ?"

 

                  Vendredi 15 février, 18 H

      Salle des fêtes de Villeneuve-Les-Salines (La Rochelle)

Nous y invitons les mouvements opposés à ce droit à venir en débattre publiquement, dans le respect de chacun. Le MRC 17, en désaccord avec ce droit, sera présent. Nous invitons aussi les responsables de l’UMP et du Parti Radical et toutes les personnes qui ont des choses à dire.

Les organisations locales qui invitent sont celles qui étaient présentes et excusées à la rencontre du 24 janvier (ci-dessous, le compte-rendu).

 °°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°

Site national de la campagne: informations et signature de la pétition:

       Droit de vote des étrangers: pétition nationale

Arguments favorables:

       Droit de vote des étrangers: argumentaire

°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°

 

Réunion départementale pour le droit de vote des étrangers : conclusions

                       Jeudi 24 janvier – 18h – Salle P. Codet - UD CGT

Présents : U.N.L, P.G., UD CG.T., Ligue de l’Enseignement, MRC 17 et le DAL 17 (non – encore ? - signataires de l’Appel), la Cimade 17, le N.P.A., E.E.L.V., et la L.D.H.

Excusés et absents: U.N.E.F., O. Falorni (Député apparenté PRG), N.. Jaumouillé (Adjointe PS de LR), M.J.S., M.J.C.F., Attac, P.C.F. 17.

Propositions d’actions:

   Les représentants présents ont souhaité ne pas mélanger les mouvements de lutte et laisser passer le temps des actions de soutien à l’action pour le mariage pour tous. Tout en tenant compte des propositions du Collectif national des 104 organisations : quinzaine d’action du 26/1 au 10/2 avec un temps fort les 2 et 3 février)

Signature de la pétition nationale et réunion publique et contradictoire:

La Rochelle :

 

   * Samedi 2 février : marché de l’Arsenal(Centre-ville), 10/12h

   * Dimanche 3 février : marché de La Pallice, 10h/12h

   * Vendredi 15 février 18h : débat public et contradictoire –Salle des fêtes de Villeneuve-Les-Salines (La Rochelle). Le responsable du MRC, en désaccord avec le droit de vote des étrangers sera présent. Nous  invitons aussi les représentants de l’UMP et du Parti Radical a venir débattre,  librement et de manière respectueuse, pour chacun

   * Samedi 2 mars : Cours des Dames à La Rochelle (9h/18h), sous tivolis, interventions de plusieurs associations : tables de signature de la pétition (lancement de l’initiative « pour la diversité » (voir la Ligue de l’Enseignement)

 è Autres lieux dans le département

  *Surgères : marché le 2 février (un groupe local)

  *Entreprises et établissements d’enseignement:l’UD CGT va inciter ses syndicats à faire signer la pétition. Quid des autres syndicats signataires : Solidaire, CFDT, Solidaire, UNEF, UNL, … ?

  *Autres lieux : Saintes, Royan, Rochefort 

    Une rencontre est initiée par la LDH sur Saintes le Mercredi 5 février, à 18h, Salle Saintonge n°5

 

 2- Rendez-vous avec les parlementaires du département

Olivier Falorni, député de La Rochelle, et Suzanne Tallard, députée de Rochefort,

       soutiennent cette exigence du droit de vote des étrangers non-communautaires

                 (voir leurs courriers sur le site de la LDH La Rochelle-Aunis)

Et les autres parlementaires, députés et sénateurs ? Leur interpellation est nécessaire

(Compte-rendu écrit par Henri Moulinier – LDH La Rochelle-Aunis (06 77 82 78 87)

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3 janvier 2013 4 03 /01 /janvier /2013 15:31
Droit de vote pour les résidents étrangers dès 2014 !

Je signe l'appel !Ont signé...


Le suffrage universel a été une longue conquête dans l’histoire de la République. Si, en 1793, lors

de la Révolution, la première République en adopta le principe, il fut réellement mis en oeuvre par la IIe

République, après la Révolution de 1848. Mais le suffrage resta limité aux hommes

jusqu’en 1944, lorsque fut enfin instauré, à la Libération, le droit de vote pour les femmes. Trente ans

plus tard, en 1974, l’âge du droit de vote fut abaissé de 21 à 18 ans.

En 1998, les étranger(e)s citoyen(ne)s des pays de l’Union européenne résidant en France ont été

admis(es) au vote et à l’éligibilité pour les élections municipales et au Parlement européen.

En mai 2000, l’Assemblée nationale vote une proposition de loi accordant le droit de vote et

d’éligibilité aux élections municipales pour les étranger(e)s extracommunautaires, qui résident légalement

sur le territoire depuis cinq ans au moins. Le Sénat, à son tour, le 8 décembre 2011, adopte cette même

proposition. Il reste à mettre en oeuvre la révision constitutionnelle nécessaire.

De nombreux(ses) responsables politiques de gauche, et aussi du centre et de droite, se sont exprimé(e)s en faveur de ce droit.

En 2012, lors des élections présidentielles et législatives, la nouvelle majorité a inscrit cette réforme

dans son programme. Conformément à ses engagements dans sa déclaration de politique générale,

le Premier ministre, en juillet puis en septembre, a promis qu’il y aurait un projet de loi en 2013.

Près de deux millions et demi d’étranger(e)s extracommunautaires vivent et travaillent dans des

communes où elles/ils participent à la vie locale et paient des impôts. Nombre d’entre

elles/eux sont responsables d’associations, délégué(e)s de parents d’élèves, délégué(e)s syndicaux(cales)...

La vie locale est un lieu essentiel de la vie démocratique et il n’existe aucune raison pour que toutes

celles et tous ceux qui résident sur ces territoires n’y participent pas de façon égale. Il est temps de

franchir une nouvelle étape pour l’élargissement du suffrage universel, la démocratie, la cohésion

sociale et pour l’égalité des droits.

Les promesses électorales faites depuis plus de trente ans, approuvées par les électeurs(trices) à au

moins quatre reprises, depuis 1981, doivent maintenant être tenues.

Nous appelons à la mobilisation citoyenne pour que cette réforme, essentielle pour une République ouverte et fraternelle, soit mise en oeuvre dès les élections municipales de 2014.
Monsieur le président de la République,

Nous vous demandons d’engager le processus de révision constitutionnelle permettant d’instaurer le droit de vote et d’éligibilité pour nos concitoyen(ne)s résident(e)s étranger(e)s aux élections locales, dès les municipales de 2014.

Cet impératif d’égalité et de démocratie est urgent !

PDF - 316.3 ko
Télécharger la pétition


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27 octobre 2012 6 27 /10 /octobre /2012 08:19

Auteur de l'article : LDH  www.ldh-france.org/Alerte-a-la-liberte-d-expression.html 

Alerte à la liberté d’expression en France. Menace sur l’agora !

Face à la multiplication des interdictions de tracter et de pétitionner sur les marchés. 
Pétition signée par Pierre Tartakwsky, président de la Ligue des droits de l’Homme.

Pétition lancée hier jeudi par 120 premiers signataires, parmi lesquels Daniel MERMET, Raoul Marc JENNAR, Eric HAZAN, JIHO, Susan GEORGE, Hervé KEMPF, Bernard LANGLOIS, Etienne LIEBIG, Gérard MORDILLAT, Benoist REY, BERTH, TIGNOUS, FAUJOUR, Patrick MIGNARD, Serge PEY, Serge UTGÉ-ROYO, Benoit DELEPINE, SINÉ, Jean-Bernard POUY, Bernard STIEGLER, Paul ARIÈS, Pierre RAHBI, Aurélie TROUVÉ, Miguel BENASAYAG, Jean-Jacques REBOUX, François RUFFIN, Pierre TARTAKOWSKY...

Voir le texte de la pétition et l’ensemble des 120 premiers signataires :http://www.netoyens.info/index.php/...

Voir tous les autres signataires depuis le lancement hier jeudi : http://portail.netoyens.info/menace...

Signer la pétition (on a besoin de tous) : http://portail.netoyens.info/menace...


www.netoyens.info/index.php/contrib/24/10/2012/menace-sur-l-agora

www.liberation.fr/politiques/2012/10/24/ces-maires-qui-veulent-faire-taire-l-agora_855676 

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29 mars 2012 4 29 /03 /mars /2012 17:35

Auteur de l'article : LDH http://www.ldh-france.org/Faire-France-ensemble

Faire France ensemble

Appel du Nouvel Observateur et Respect Mag « Faire France ensemble » signée par Pierre Tartakowsky, président de la LDH 

"Nous intellectuels, responsables ou citoyens musulmans, juifs, chrétiens ou non croyants, voulons manifester notre volonté de préserver l’unité de la nation autour des valeurs de la République dans l’épreuve que traverse le pays après les assassinats des enfants juifs, de leur professeur, et des militaires de Toulouse et de Montauban. L’heure est grave : dans cette période de campagne présidentielle, nous mettons en garde tous les candidats contre la tentation d’instrumentaliser ce drame à des fins partisanes et de diviser les Français sur des critères communautaires que nous récusons.

C’est la République qui était visée dans ces attentats terroristes, c’est-à-dire le principe d’égalité et de fraternité entre tous les citoyens, quelle que soit leur origine ou leur religion. Les fanatiques ont pour but de diviser la société en communautés séparées et bientôt hostiles de manière à ouvrir la voie à leur propagande morbide. Toute déclaration, tout geste, toute mesure qui tend à désigner, même indirectement, telle ou telle religion telle ou telle culture à la méfiance publique sert, même indirectement, leurs desseins et affaiblit notre culture commune dans une société à la fois une, dans ses fondements, et multiple, dans ses approches et son expression.

Au contraire, c’est par la lutte contre le racisme, l’antisémitisme et toutes formes de discriminations, et par l’interrogation collective sur les exclusions et les affrontements qu’une société participe à produire, que nous assurerons l’unité des démocrates et l’isolement des forces destructrices. Loin de s’opposer entre eux, juifs, musulmans, chrétiens et non-croyants doivent coopérer sans relâche à la préservation –y compris dans leurs propres rangs !- des principes communs d’égalité et de laïcité, seuls capables d’assurer la tolérance réciproque, la liberté des cultes et des opinions, le maintien de la fraternité et le développement d’une dynamique irremplaçable, celle d’une société riche de sa pluralité."

Ont déjà signé :

Mehdi Thomas Allal, responsable pôle anti-discrimination Terra Nova, Jean- Christophe Attias, directeur d’études à l’EPHE (Sorbonne), cofondateur du « Pari(s) du Vivre-Ensemble », Laurent Azoulai, président cercle Léon Blum, Esther Benbassa, sénatrice EELV du Val-de-Marne, directrice d’études à l’EPHE (Sorbonne), cofondatrice du « Pari(s) du Vivre-Ensemble », Ghaleb Bencheikh, essayiste, Cheikh Khaled Bentounès, Tariqa Alawiya, Rachid Benzine, islamologue, universitaire, Fatima Besnouci-Lancou, écrivain, Dalil Boubakeur, recteur Mosquée de Paris, Ofer Bronchtein (président Forum international pour la paix), Marc Cheb Sun, fondateur et directeur de la rédaction de Respect Mag, Madani Cheurfa, secrétaire général du Cevipof, Jean Daniel, directeur du Nouvel Observateur, Père Christian Delorme, prêtre en diocèse à Lyon, Rokhaya Diallo, éditorialiste et militante, Reda Didi (Graines de France), François Durpaire, historien et président de Nous sommes la France, Abdelhak Eddouk, aumônier musulman, Jamel El Hamri, étudiant en master civilisation musulmane, Anne Esambert, haut fonctionnaire, Eric Geoffroy, islamologue, Nassurdine Haïdiri (Nous ne marcherons plus !), Samia Hathroubi, co-fondatrice des JEM EGO, Juifs et Musulmans Ensemble Génération Ouverte, Alain Jakubowicz, Président de la Ligue Internationale Contre le Racisme et l’Antisémitisme, Laurent Joffrin, Directeur de la rédaction Nouvel Observateur, Nacer Ketane, président de Beur Fm, Bariza Khiari, sénatrice de Paris, Fadila Mehal, vice présidente Modem Paris, Léonora Miano, écrivain, Brice Nkonda, président du CQFD, Conseil des Quartiers de France pour la Diversité, Ousmane Ndiaye, journaliste, Naïma M’Faddel, présidente de la Maison d’Averroès, Tareq Oubrou, Grand Imam de Bordeaux, Richard Prasquier, CRIF, Rost, artiste et président de Banlieues actives, Bolewa Sabourin, initiateur de Cités en mouvement, Elyamine Settoul, enseignant Sciences Po, Patrick Singaïny, intellectuel réunionnais, Pierre Tartakowsky, président Ligue des droits de l’Homme, Christiane Taubira, députée de Guyane, Louis-Georges Tin, président de République et diversité, Ludovic Lotfi Mohamed Zahed HM2F, Homosexuels musulmans de France, Bernard Zilberg, président Maison Itshak Rabin France

N’hésitez pas à signer cet appel en ligne.

http://tempsreel.nouvelobs.com/societe/20120327.OBS4745/faire-france-ensemble-signez-l-appel-du-nouvel-obs-et-respect-mag.html


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9 mars 2012 5 09 /03 /mars /2012 22:53

 

L'appel des femmes arabes pour la dignité et l'égalité

Nous, femmes arabes impliquées dans les luttes pour la démocratie, la dignité et l'égalité, nous, actrices au premier plan des changements exceptionnels que connaît le monde arabe, tenons à rappeler à l'opinion publique que les femmes sont en droit de bénéficier au même titre que les hommes du souffle de liberté et de dignité qui gagne cette région du monde.

Depuis toujours, les femmes mènent des luttes pour obtenir des acquis, plus ou moins importants selon les pays. Mais ces acquis demeurent en deçà de leurs aspirations et font de leur statut un des plus reculés dans le monde.

Les violences demeurent répandues tant dans l'espace public que privé et très peu de mesures sont prises pour mettre fin à ce fléau.

Les codes de la famille ne sont dans la plupart des pays arabes que des textes instituant l'exclusion et la discrimination.

Les autres lois que sont le code de la nationalité, certains codes civils et les lois pénales ne font que renforcer ces discriminations. Ces lois violent les droits les plus élémentaires et les libertés fondamentales des femmes et des fillettes par l'usage de la polygamie, le mariage des mineures, les inégalités en matière de mariage, de divorce, de tutelle sur les enfants ou encore l'accès à la propriété et à l'héritage.

Certaines lois permettent même à la parentèle masculine de tuer des femmes et des filles avec le bénéfice de circonstances atténuantes dans le cadre des crimes d'honneur.

Si la majorité des pays arabes (à l'exception du Soudan, et de la Somalie) a ratifié avec plus ou moins d'empressement la Convention sur l'élimination de toutes les formes de discrimination à l'égard des femmes (Cedaw), adoptée par l'ONU en 1979, ces ratifications sont restées sans impact réel sur le statut et la condition des femmes.

Aujourd'hui que le monde arabe est en phase de construction démocratique pour la consolidation de l'Etat de droit et des droits humains, nous considérons que si l'égalité ne peut se réaliser sans la démocratie, la pleine jouissance de cette démocratie ne peut se réaliser sans une égalité totale entre les hommes et les femmes.

C'est pourquoi nous appelons les Etats, les partis politiques et la société civile dans ces pays à tout faire pour que la dignité des femmes et leur égalité avec les hommes ne soient pas une fois de plus sacrifiées au nom de prétendues priorités.

Aucune démocratie en effet ne peut se construire au détriment de la moitié de la société. Ensemble nous avons fait notre présent, ensemble nous construirons un avenir meilleur.

Nous exigeons :
- la préservation des acquis, l'égalité totale et effective et l'inscription des droits des femmes dans les constitutions ;
- les mesures législatives et administratives afin d'éradiquer les violences faites aux femmes ;
- la ratification et le respect de la Cedaw sans réserve dans son esprit et dans toutes ses implications concrètes ;
- l'adoption de lois qui protègent les femmes des inégalités sociales et économiques, des discriminations, en particulier familiale ;
- les mesures d'action positive afin d'assurer l'accès des femmes aux postes de décision et à leur pleine participation à la vie politique et associative ;
- la dénonciation des voix qui s'élèvent ici et là pour discriminer les femmes au nom d'une lecture rétrograde des préceptes religieux ainsi que celles qui voudraient leur interdire une participation pleine et entière à une vie digne et respectueuse des droits humains ;

Les huit signataires de l'appel :

- Souhayr Belhassen, présidente de la Fédération internationale des ligues des droits de l'homme (FIDH), tunisienne ; 

- Bochra Belhadj Hmida, avocate, cofondatrice et ex-présidente de l'Association tunisienne des femmes démocrates, tunisienne ;

- Shahinaz Abdel Salam, blogueuse et activiste, égyptienne ;

- Nawal El Saadawi, médecin psychiatre, écrivain et féministe historique, égyptienne ;

- Tahani Rached, réalisatrice, égyptienne ;

- Samar Yazbek, écrivain, syrienne ;

- Azza Kamel Maghur, avocate internationale et membre du Conseil Libyen des Droits de l'Homme, libyenne ;

- Wassyla Tamzali, féministe et essayiste, algérienne.

Soutenues par :

Sylviane Agacinski, philosophe ; Keren Ann, chanteuse ; Elisabeth Badinter, philosophe ; Josiane Balasko, comédienne ; Juliette Binoche,comédienne ; Dominique Blanc, comédienne ; Louis Chedid, chanteur ; Umberto Eco, écrivain ; Marianne Faithfull, chanteuse ; René Frydman, obstétricien ; Juliette Gréco, chanteuse ; Claudie Haigneré, astronaute et femme politique ; Françoise Héritier, anthropologue ;Isabelle Huppert, comédienne ; Axel Kahn, généticien ; La Grande Sophie, chanteuse ; Talisma Nasreen, écrivain ; Olivia Ruiz, chanteuse ;Rayhana, auteure et comédienne ; Annette Wieviorka, historienne ; Mazarine Pingeot, professeure de philosophie et écrivain ; Catherine Deneuve, comédienne ; Benjamin Biolay, chanteur-compositeur.

 

L'appel peut être signé par tout citoyen. La pétition sera remise au Président du Conseil Européen à l'occasion du Sommet des chefs d'état et de gouvernement de l'Union Européenne à Bruxelles, le 25 mai 2012. Signez cette pétition en ligne.

http://www.mesopinions.com/L-appel-du-8-mars-pour-la-dignite-et-l-egalite-petition-petitions-a89238a98fc0692c7924831a31f907b8.html

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Suivez sur l'antenne de France Inter, co-initiateur, en partenariat avec Le Monde, de l'"Appel des femmes arabes pour la dignité et l'égalité", les rendez-vous de la journée du 8 mars sur le thème : "Révolutions arabes, révolutions des femmes ? 8 mars, 8 femmes".

 

 

 

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24 février 2012 5 24 /02 /février /2012 08:54

 

Auteur de l'article : LDH : http://www.ldh-france.org/Sauvons-la-vie-privee-Pour-un

« Sauvons la vie privée ! Pour un véritable droit d’opposition à l’informatisation de nos données personnelles »

Signez la pétition nationale contre le fichage informatique portée par 27 organisations dont la Ligue des droits de l’Homme, ainsi que par plus de 50 personnalités de divers horizons. 

Signez la pétition en ligne : http://www.uspsy.fr/Petition-En-2012-sauvons-la-vie.html

Cette pétition décrit l’extension illimitée du fichage informatique et ses dangers, aussi bien pour la vie privée qu’à travers ses objectifs cachés de sélection des populations, rappelle les dispositions légales qui devraient l’encadrer très étroitement et énonce enfin les mesures à prendre pour ce faire, à commencer par la reconnaissance d’un droit d’opposition effectif.

Elle est portée par 27 organisations nationales militant dans le domaine des droits de l’Homme et des libertés démocratiques, dont la Ligue des droits de l’Homme, ainsi que par plus de 50 personnalités de divers horizons.

 

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20 février 2012 1 20 /02 /février /2012 23:06

Auteur de l'article : LDH : http://www.ldh-france.org/Defendre-le-droit-a-l-information
Défendre le droit à l’information et à l’éducation à la sexualité pour toutes et tous : c’est maintenant !

Signez la pétition du Planning Familial
En 2012, l’Etat « a perdu » 500 000 € affectés au financement des Etablissements d’information, de conseil conjugal et familial (EICCF).
20% de la ligne budgétaire promise, prévue et votée dans la loi de finances pour 2012 ont disparu. Cela compromet de fait l’accès à l’information et à l’éducation à la sexualité pour toutes et tous.

Pour autant, rapports après rapports, il est rappelé l’importance de cette mission d’information que l’Etat considère depuis 45 ans comme relevant de sa responsabilité (art1, loi créant le Conseil supérieur de l’information sexuelle).

Déjà sous financés, l’accueil, l’information et l’orientation sur les questions concernant la sexualité, la contraception, la vie relationnelle seront demain réduits à la portion congrue !

Pas plus aujourd’hui qu’en 2009, le Planning Familial, mouvement féministe et d’éducation populaire, n’acceptera la mise en danger de l’information sur les droits sexuels et reproductifs par un tour de passe passe dans le budget de l’Etat.

L’évolution de la société et les changements de mentalités passent par la possibilité de chacune et de chacun à se construire à travers une approche globale et positive de la sexualité, pour peu qu’on lui en donne les moyens : l’information et l’éducation en font partie.

Le Planning Familial appelle à signer et faire cette pétition pour :
• Contribuer à construire une société égalitaire entre les femmes et les hommes
• Prévenir les grossesses non souhaitées et les IST dont le VIH
• Lutter contre les violences faites aux femmes
• Contribuer à faire des jeunes d’aujourd’hui les adultes responsables de demain

Signez la pétition en ligne :

http://www.planning-familial.org/content/defendre-le-droit-linformation-et-leducation-la-sexualite-pour-toutes-et-tous-cest-maintenan

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12 février 2012 7 12 /02 /février /2012 14:35

Soutien à Serge Letchimy
Aucune excuse, aucune sanction, soutien total à M. Letchimy
 
Le président de l’Assemblée nationale Bernard Accoyer a indiqué qu’il réunira le bureau de l’Assemblée suite à la demande de sanctions de l'UMP contre Serge Letchimy, député de Martinique, qui a refusé le petit arrangement des excuses, après sa question au gouvernement du 7 février dernier.
Les sanctions du bureau peuvent être importantes : censure (condamnation publique des propos), suspension plus ou moins longue des indemnités parlementaires et, au maximum, exclusion temporaire de l’Assemblée...
J'adhère au discours de Serge Letchimy et trouve sa réaction parfaitement appropriée suite aux déclarations du ministre Guéant. Serge Letchimy n'a pas à s'excuser. Je demande que toute sanction soit abandonnée et que sa liberté de parole soit respectée.

 

Serge Letchimy, interroge le premier ministre, sur les propos de C. Guéant (séance des questions au gouvernement, Assemblée Nationale, 7 février 2012)...


M. le Premier ministre,

Nous savions que pour M. Guéant, la distance entre « immigration » et « invasion » est totalement inexistante, et qu’il peut savamment entretenir la confusion entre civilisation et régime politique.
Ce n’est pas un dérapage !
C’est une constante parfaitement volontaire !
En clair : c’est un état d’esprit et c’est presque une croisade!
M. Guéant, vous déclarez, du fond de votre abîme, sans remords ni regrets, que «toutes les civilisations ne se valent pas». Que certaines seraient plus « avancées » ou « supérieures » à d’autres.

Non, M. Guéant, ce n' est pas du bon sens» !
C’est simplement une injure faite à l’homme !
C’est une négation de la richesse des aventures humaines !
Et c’est un attentat contre le concert des peuples, des cultures et des civilisations !

Aucune civilisation ne détient l’apanage des ténèbres ou de l’auguste éclat !
Aucun peuple n’a le monopole de la beauté, de la science, du progrès, et de l’intelligence !

Montaigne disait que « Chaque homme porte la forme entière de l’humaine condition ».
J’y souscris.
Mais vous M. Guéant, vous privilégiez l’ombre !
Vous nous ramenez, jour après jour, à ces idéologies européennes qui ont donné naissance aux camps de concentration, au bout du long chapelet esclavagiste et colonial.
M. Guéant le régime nazi, si soucieux de purification, si hostile à toutes les différences, était-ce une civilisation ? La barbarie de l’esclavage et de la colonisation, était-ce une mission civilisatrice ?
Il existe, M. le Premier Ministre, une France obscure qui cultive la nostalgie de cette époque que vous tentez de récupérer sur les terrains du Front National.

C’est un jeu dangereux et une démagogie inacceptable.
Mais, il en existe une autre vision : celle de Montaigne, de Montesquieu, de Condorcet, de Voltaire, de Schœlcher, de Hugo, de Césaire, de Fanon, et de bien d’autres encore !
Une France qui nous invite à la reconnaissance que chaque homme,...

M. Letchimy est alors censuré par le président de l’Assemblée.

Voici la fin de son intervention...

 Une France qui nous invite à la reconnaissance que chaque homme,dans son identité et dans sa différence, porte l’humaine condition, et que c’est dans la différence que nous devons chercher le grand moteur de nos alliances !

Alors M. le premier ministre : Quand, mais quand donc votre ministre de l’intérieur cessera t-il de porter outrageusement atteinte à l’image de votre gouvernement et à l’honneur de la France ?


Premier(e)s signataires:
Veronika Daae (Association des Communistes Unitaires), Jean-François Lafontaine ( Directeur de cabinet du Président du Conseil Régional de Martinique) , Martine Rainaud ( Militante FASE 33310 Lormont), Raoul Marc Jennar ( Essayiste, Mosset (66)), Myriam Martin (NPA), Olivier Le Cour Grandmaison ( Universitaire), Elodie Vieille-Blanchard ( Les Alternatifs), Patrick BRAOUEZEC ( Député), Francine BAVAY (conseillère régionale IDF), Roland Mérieux ( Les Alternatifs), François Simon ( vice-président région Midi-Pyrénées, EELV), Etienne Adam ( FASE Basse Normandie), Jean-Marie Harribey (Professeur, Economiste atterré), Patrick Le Hyaric ( directeur de L'Humanité, Député européen, Vice président du groupe Gauche unitaire européenne au parlement européen),Mathieu Colloghan (Artiste peintre, Montreuil),Yannis Youlountas (écrivain, journaliste Siné-Mensuel), Xavier Marchand ( FASE Languedoc-Roussillon)


Secrétariat signatures: contact@soutenirsergeletchimy.fr

 

Signer la pétition - Voir les signataires ;

http://www.convergencedesluttes.fr/petitions/index.php?petition=18

Pas-de-sanction-contre-serge-letchimy Pas-de-sanction-contre-serge-letchimy

 

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8 février 2012 3 08 /02 /février /2012 09:50
Il faut en finir avec l’enfermement des enfants étrangers !
Communiqué et pétition de l’Observatoire de l’enfermement des étrangers (OEE) et du RESF 

Hier soir, à la Bourse du travail de Paris, plus de 200 personnes ont lancé un appel à mettre fin aux pratiques d’enfermement des mineurs étrangers dans les Centre de rétention administrative (CRA) et les zones d’attente aux frontières. En dépit des textes internationaux qui garantissent leur protection, les enfants ne sont en effet pas épargnés par la politique « du chiffre » en matière d’immigration et d’enfermement des étrangers, et se trouvent privés de liberté au motif que leurs parents sont sans papiers. Pour la seule année 2010, 356 enfants ont été retenus dans les CRA, dont 80% âgés de moins de 10 ans ; et 518 ont été maintenus dans les zones d’attente, les enfants de 13 à 18 ans étant généralement enfermés dans les mêmes locaux que les adultes. La même année, dans la seule petite île de Mayotte, 6400 mineurs ont été éloignés de force.

L’ouverture, en août 2011, de 40 places pour les familles et l’installation de structures d’accueil et aires de jeux dans le nouveau CRA du Mesnil-Amelot, a envoyé le signal d’une augmentation de l’enfermement des enfants programmée par le ministère de l’Intérieur. Tirés du lit au petit matin ou arrêtés avec leur père, leur mère, leurs frères et soeurs, séparés de leurs amis, privés d’école, ces enfants s’en remettront-ils ? Ils sont enfermés près des aéroports, gardés par des policiers, derrière des grillages, à chaque déplacement ils voient devant eux leurs parents menottés.

L’enfermement des enfants et des mineurs étrangers, seuls ou avec leurs parents, heurte les principes protégés par des textes internationaux dont la Convention Européenne des Droits de l’Homme (CEDH) et la Convention Internationale des Droits de l’Enfant (CIDE). Le Comité des droits de l’enfant des Nations unies rappelle régulièrement la France à l’ordre à ce sujet. En vain. Le 19 janvier 2012 la Cour Européenne des Droits de l’Homme (CEDH) a condamné la France pour les traitements, considérés comme inhumains et dégradants, infligés à de jeunes enfants placés en rétention (CEDH Popov c/ France 19. 01. 12 n° 39472/07 et 39474/07).

Soutenus par des personnalités qualifiées dans le domaine de la protection des enfants, l’Observatoire de l’enfermement des étrangers et le Réseau éducation sans frontières publient un appel à pétition pour que cesse immédiatement et définitivement l’enfermement des enfants et mineurs étrangers.

Pétition en ligne sur le site de RESF

Télécharger le communiqué.

Texte de la pétition :

Réseau Éducation Sans Frontières (RESF) 
Observatoire de l’enfermement des étrangers (OEE*)

Il faut en finir avec l’enfermement des enfants étrangers !

165 en 2004, 
242 en 2007, 
318 en 2009, 
356 en 2010.

C’est le nombre d’enfants privés de liberté parce que leurs parents sont sans papiers. Au motif que leur situation administrative n’est pas à jour – c’est là leur seul crime – de plus en plus de familles sont aujourd’hui détenues dans des centres de rétention administrative (CRA). Ce sont parfois de très jeunes enfants : 80% de ceux qui sont enfermés en CRA ont moins de 10 ans. Et encore ces chiffres sont bien plus conséquents si l’on prend en compte l’Outre-mer : dans la seule petite île de Mayotte, en 2010, 6400 mineurs ont été éloignés de force.

En zone d’attente1, selon les chiffres du ministère de l’intérieur, 1038 mineurs étrangers isolés (sans leurs parents) ont été bloqués à la frontière française en 2008, 698 en 2009 et 518 en 2010 (parmi lesquels 101 ont été refoulés). Les enfants de 13 à 18 ans sont généralement enfermés dans les mêmes locaux que les adultes.

Priver de liberté des dizaines de milliers d’étrangers - parfois jusqu’à 45 jours - pour des raisons administratives est l’affichage le plus visible de la politique du gouvernement en matière d’immigration et de ses objectifs chiffrés. L’ouverture, en août 2011, de 40 places pour les familles et l’installation de structures d’accueil et aires de jeux dans le nouveau CRA du Mesnil-Amelot, envoient le signal d’une augmentation voulue et programmée de l’enfermement des enfants. Tirés du lit au petit matin ou arrêtés avec leur père, leur mère, leurs frères et soeurs, séparés de leurs amis, privés d’école, ces enfants s’en remettront-ils ? Ils sont enfermés près des aéroports, gardés par des policiers, derrière des grillages, à chaque déplacement ils voient devant eux leurs parents menottés. La peur de l’expulsion ne les lâchera plus.

L’enfermement des enfants et des mineurs étrangers, seuls ou avec leurs parents, heurte les principes protégés par des textes internationaux dont la Convention Européenne des Droits de l’Homme (CEDH) et la Convention Internationale des Droits de l’Enfant (CIDE). Le Comité des droits de l’enfant des Nations unies rappelle régulièrement la France à l’ordre à ce sujet. En vain : ne serait-ce que pendant l’été 2011, des dizaines d’enfants ont été arrêtés à leur domicile avec leurs parents, et placés en rétention.

Nous exigeons que cesse immédiatement et définitivement l’enfermement des enfants et mineurs étrangers.

PREMIERS SIGNATAIRES : 
Dominique Attias, avocate, membre du Conseil national des Barreaux en charge du groupe de réflexion sur le Droit des Mineurs, Geneviève Brisac, éditrice pour enfants et adolescents à l’Ecole des Loisirs, écrivain, Claire Brisset, ancienne Défenseure des enfants, Boris Cyrulnik, neuropsychiatre, Jacques Hintzy, Président de l’Unicef France, Pierre Joxe, avocat au Barreau de Paris, membre de l’Antenne des mineurs, Premier président honoraire de la Cour des comptes, Marie-Rose Moro, Professeure de pédopsychiatrie, Paris Descartes, Georges Picherot, chef de service de pédiatrie au CHU de Nantes, Jean-Pierre Rosenczveig, magistrat, président de Défense des Enfants International - France, Didier Sicard, président d’honneur du Comité consultatif national d’éthique, Catherine Sultan, présidente de l’association française des magistrats de la jeunesse et de la famille.

*Sont membres de l’Observatoire de l’Enfermement des Etrangers (OEE) : ACAT-France, Avocats pour la défense des droits des étrangers (ADDE), Anafé, Comede, Emmaüs France, Fasti, Gisti, La Cimade, Ligue des droits de l’Homme, MRAP, revue Pratiques, Syndicat des avocats de France (SAF), Syndicat de la magistrature (SM), Syndicat de la médecine générale (SMG), le Secours Catholique.

7 février 2012

1 - Les zones d’attente sont des espaces dans lesquels les étrangers arrivant en France attendent que l’on décide de les autoriser (ou non) à entrer sur le territoire national. Elles sont situées dans les aéroports, les ports, les gares qui desservent l’international. Ces espaces ne sont pas considérés comme des portions du territoire français, et du fait de cette fiction juridique les étrangers qui s’y trouvent ne sont pas considérés comme officiellement en France. Leurs droits s’en trouvent donc restreints.

Signez la pétition en ligne sur le site de RESF

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23 décembre 2011 5 23 /12 /décembre /2011 10:35
Pour la régularisation des travailleurs-euses sans papiers et l’égalité de traitement entre Français(es) et étranger(e)s dans les études comme au travail.
Pour la régularisation des travailleurs-euses sans papiers et l'égalité de traitement entre Français(es) et étranger(e)s dans les études comme au travail.
Plateforme commune pour la régularisation des travailleurs-euses sans papiers et l’égalité de traitement entre Français(es) et étranger(e)s dans les études comme au travail. 

Nos organisations faisant le constat qu’à l’heure de la mondialisation libérale, la concurrence de tous contre tous est organisée, que la précarisation, la déréglementation, l’austérité se développent dans toute l’Union européenne, qu’avec la crise, les droits sociaux sont partout attaqués, affirment : les travailleur-euses migrants n’ont vocation, ni à être victimes de la déréglementation sociale, ni à en être les vecteurs. Ils ne prennent le travail de personne. Ils sont partie intégrante du salariat.

Nous entendons agir pour que chaque salarié(e), qu’il (elle) soit d’ici, résidant étranger ou migrant avec ou sans papier bénéficie de l’égalité de traitement, avec un contrat de travail au moins conforme aux normes de notre pays.

Cette ambition est réalisable parce que, depuis plusieurs années, les migrants « sans papiers » se sont levés, avec Resf et dernièrement avec le mouvement de grève des travailleurs-euses sans papiers et « le groupe des 11 » pour faire valoir leurs droits.

Ces luttes montrent que ces hommes et ces femmes sont totalement intégrés dans notre pays, que ce soit par leurs enfants, leur étude ou leur travail.

Dans la continuité de ces luttes nos organisations proposent une plate-forme d’action et de lutte pour gagner dès maintenant l’égalité de traitement entre les Français(es) et étranger(e)s dans les études comme au travail.

A l’appel de :

CGT/ FSU/ UNEF/ Autremonde/ Cimade/ Collectif 31 mai/ Femmes Egalité/ Jeunesse Ouvrière Chrétienne/ Ligue des Droits de l’Homme/ MRAP/ RESF/ SOS racisme/


L'université est universelle : notre matière grise est de toutes les couleurs !
signez l'appel : 

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